L’An prochain à Jérusalem

Après un retour récent au judaïsme, Joëlle, 42 ans, décide d’aller s’installer en Israël, de faire son Alya, pour vivre pleinement sa vie religieuse. Elevée dans la pratique du judaïsme, Myriam Aziza s’est elle peu à peu libérée du poids de la religion sans pour autant parvenir à porter sereinement son identité juive. A travers le parcours de Joëlle de Paris vers Jérusalem, une relation complexe se développe entre la réalisatrice et son personnage. Car entre deux points de vue si différents, jusqu’où le dialogue est-il possible ? Et surtout, jusqu’où le film peut-il imposer sa loi ?